• Oui, Mon Général ! c’est le restaurant préféré de “Mamieboboon” qui adore sa cuisine ripaille et fine dans une ambiance bistrotière des beaux quartiers. 

    Il est vrai que le restaurant de Nicolas Bessière et Stéphane Reynaud incarne tout ce qu’on aime dans un bistrot de quartier : une cuisine française, bonne, élaborée, franche, avec des produits bien sélectionnés et sourcés. 

    Situé au 14 rue du Général Bertrand dans le quartier chic du 7ème arrondissement. Le restaurant est vaste, l’accueil y est chaleureux, le décor est simple et les bouteilles de vin XXL y sont bien mises en valeur au coin du bar en zinc. 

    Mon Général ne propose pas de menu, on y mange seulement à la carte et quelle carte ! En entrée, nous optons pour les bulots avec une sauce aïoli verte (délicieux), un demi-œuf au caviar “pour frimer” comme l’indique la carte (jouissif), et des escargots de Bourgogne, jus de shiitakés et émulsion de pomme de terre (goûteux et délicats). 

    En plat, le poulpe grillé, sauce aigre douce, pickles de gingembre, chou blanc pimenté et le pot au feu très cochon sont excellents. 

    Pour le dessert, la Pavlova aux fruits du moment est généreuse et parfaite pour clore notre dîner. 

    La carte des vins est impressionnante avec des bouteilles tarifées de 30 à 300 euros. Il y a tout ce qu’il faut pour les amoureux du vin. 

    Le service est charmant, agréable, professionnel et efficace. 

    Oui, mon Général ! incarne l'esprit du bistrot de quartier à la fois sincère et bon où l'on aime faire plaisir aux clients en leur proposant une très bonne cuisine avec des bons vins et un bon accueil.

     

    Oui Mon Général

    14, rue Général Bertrand

    75007 Paris

    Téléphone : 0147837666

    www.oui-mon-general.fr

     

    Oui Mon Général

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  • Au 34 du boulevard Raspail à Paris (7e arrt), un magnifique hôtel particulier de style Art Déco abrite un restaurant-café-jardin des plus confidentiels. L’entrée est discrète (du genre « ne clignez pas des yeux, vous risqueriez de la louper ») et s’ouvre sur une impasse étroite au bout de laquelle un escalier permet d’accéder à la salle. Le lieu est atypique et chargé d’histoire. En effet, c’est ici qu’au début du XXe siècle, Marc Sangnier, journaliste et leader du mouvement politique Le Sillon, créa son journal : La Démocratie. 

    Un siècle plus tard, Aurélien Wenger, son petit-fils, a baptisé son restaurant du même nom et en a confié les clés au nouveau chef Stéphane Savorgnan qui y pratique une cuisine simple, axée sur les produits et surtout avec des tarifs plutôt doux pour le quartier. 

    Le menu se décline en deux formules : Démocrate (entrée-plat-dessert) à 38 Euros ou Républicain (entrée-plat ou plat-dessert) à 30 Euros. Nous avons opté pour trois menus Démocrate et un plat à la carte. 

    Nous commençons par un velouté de potimarron (plutôt bon quoi que manquant un peu de sel et d’onctuosité car très épais manquant) et une poêlée d’encornets et poivrons doux assez fade et légèrement trop cuite. 

    Pour les plats, nous avons choisis une choucroute de poissons et un steak tartare aller-retour aux herbes et condiments. La choucroute était correcte, le steak très bon. Au final entrées et plats n’ont rien d’exceptionnel. 

    Pour le dessert en revanche, aucune fausse note car c’est Hugo & Victor, de la pâtisserie voisine, qui fournissent. Notre tarte à l’ananas façon tatin accompagnée de son sorbet mojito est impeccable. 

    La Carte des vins est belle avec d’excellentes références et une bonne sélection au verre. 

    Le service est sympathique, chaleureux et efficace. 

    Nous espérons que la cuisine de Stéphane Savorgnan saura monter en gamme car ce lieu historique et agréable mérite mieux que ça. Nous pensons néanmoins revenir aux beaux jours mais uniquement pour profiter du jardin et prendre un verre.

     

    La Démocratie

    34, Bld Raspail

    75007 Paris

    Téléphone : 0767698533

    www.lademocratierestaurant.com

     

    La Démocratie

    La Démocratie

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  • Nous avons débuté notre nouvelle année gastronomique parisienne dans le IXe arrondissement au restaurant Passionné du chef Satoshi Horiuchi. Hélas, nous n’avons pas retrouvé cette passion affichée sur la porte dans nos assiettes. 

    Première impression, la salle est très belle, dans des tons plutôt sombres, assez chic avec sièges en velours et enceintes Devialet. En revanche, elle est surchauffée. La table en marbre est dressée avec soin. On prend notre vestiaire contre un ticket, comme au théâtre. 

    Notre menu en cinq étapes se compose des petits amuse-bouches, une entrée, deux plats (poisson et viande), pré-dessert et dessert. Les amuse-bouches sont jolies mais sans saveur, l’entrée de Saint Jacques en deux façons (crues et en beignet) est excellente, le poisson du jour est bon (sans plus), le filet de bœuf Simmental est tendre et fondant. Au final, il a fallu attendre le pré-dessert et le dessert pour réveiller (enfin !) nos papilles. 

    La carte des vins est très chère et limitée. Pas de proposition de cocktails, ni de saké sur la carte des boissons – même si, renseignement pris, le saké est bien une option et nous a été servi en apéritif. 

    Le service est de bonne volonté mais reste approximatif tant dans la description des plats que sur la provenance du saké qui nous était servi (la jeune serveuse de notre table n’a pas su nous l’indiquer). 

    Une adresse branchée qui gagnerait à être plus percutante dans l’assiette. Espérons qu’avec le temps, Satoshi Horiuchi saura rendre son restaurant plus… passionnant.

     

    Passionné

    17, rue Bergère

    75009 Paris

    www.restaurantpassionne.com

    Passionné

    Passionné

    Passionné

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    Passionné

    Passionné

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    Passionné

     

    Passionné

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  • Le Casse Noix est un bistrot pur jus bistronomique, le chef Pierre-Olivier Lenormand a été formé par le pape de la bistronomie, Christian Constant et par Bruno Doucet, le disciple de Yves Camdeborde.

     

    Son restaurant est décoré façon bistrotière à souhait avec mobilier vintage et avec une cuisine semi ouverte. 

    Le menu/carte à 39 Euros pour une entrée, plat et dessert nous offre trois entrées ; trois plats et trois desserts plus une assiette de fromages. Une cuisine du marché et saisonnier qui change selon l’humeur du chef.

     

    Le chef maîtrise sa partition bistronomique à la perfection, une cuisine généreuse et goûteuse avec des produits de qualité.

     

    La carte des vins est bien fournie avec quelques bonnes références comme notre bouteille Gigondas de la famille Perrain.

     

    Le service est enlevé et efficace.

     

    Notre seul regret ce sont les suggestions du jour affichent toujours avec un petit supplément de trois ou cinq Euros pour chaque plat et surtout pour le prix excessif pour le café qui est tarifé à quatre Euros

     

     

    Le Casse Noix

    56 rue de la Fédération

    75015 Paris

     

     


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  • Otto, un Izakaya/Tapas nouvelle génération créé par le trio Éric Trochon, Tony Alvarez Parage et Stéphane Hoffner, se situe dans le quartier Mouffetard à Paris et c’est une nouvelle des plus réjouissantes. 

    La salle est tout en longueur avec de petites banquette dans le fond et une cuisine ouverte au milieu où le chef envoie de petites assiettes d’une cuisine bonne, à la fois simple (dans sa conception) et goûteuse, inspirée par l’arrivage du marché et selon l’envie du chef. 

    Pour notre déjeuner du dimanche 27 novembre, nous avons pris des Shitakés à l’huile de sésame grillés, parfaitement sautés au wok ; les piments Padron aux fleurs de sel, savoureux et délicat ; couteaux au beurre d’ail comme on les aime ; encornets grillés, un petit délice et pour terminer le superbe gâteau au chocolat et fleur de sel. 

    La carte des vins au verre offre trois vins rouges, trois vins blancs et deux effervescents. Notre verre de la Fosse Sèche, Eolythe 2020 du domaine de la Loire est léger et sympathique. Le restaurant possède une petite cave intéressante à découvrir pour la prochaine visite. 

    Le service par Stéphane Hoffner est chaleureux, souriant et bienveillant. Il nous a offert deux petites assiettes pour nous souhaiter la bienvenue. 

    Désormais, à Mouffetard, le restaurant Flocon n’est plus le seul à offrir de la bonne cuisine dans un quartier qui en manquait cruellement il n’y a pas si longtemps encore.

     

    Otto

    5,rue Mouffetard

    75013 Paris

    www.otto-paris.com

     

    Otto

    Otto

    Otto

    Otto

    Otto

    Otto

    Otto

     


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