• For our first trip abroad since January (courtesy of Covid-19), we chose the region of Algarve, Portugal to spend our fall holidays in this period of pandemic.

    Algarve is an ideal spot for a week of holidays: sun, blue skies, wonderful beaches, beautiful landscapes, very good food and restaurants and most of all the Portuguese people are so nice.

    We chose to stay at the Anantara Vilamoura Resort to check out the first luxury hotel of the Minor group in Europe.

    The building itself is of contemporary design with an elegant, sober and chic ambiance. The hotel has a view and a direct access to the Oceanico golf course designed by the legendary Arnold Palmer. The lobby is luminous and aerial with a big tree in the middle, “planted” by a local artist to welcome the guests.

    Our check-in was smooth and nicely handled by Elodie, a French native.

    Our Deluxe Garden Room had nice proportions and included a large bathroom that was ingeniously separated from the room by a series of sliding doors and screens, creating an open plan, bright space during the day, or an intimate mood-lit bathroom for a relaxing soak in the tub. It also had a large balcony with a sofa bed to relax and chill.

    Our breakfast at the Victoria restaurant (indoor or on the terrace) was nice and had a good offer, be it slightly reduced due to Covid. The service was friendly and warm.

    To be fair, due to the current Covid-19 situation, we have to say that not everything in this five-star hotel is on par with some of their Asian counterparts.

    We brought it up to the hotel General Manager, Marta Pinto, who said they are doing the best they can in these singular and unprecedented circumstances. Here are the few things that, in our opinion, should be reviewed and changed at the Anantara Vilamoura Resort even in this period of Covid-19 crisis:

          1. The hotel should not charge 1;5€ for the Nespresso capsules that are in the room, at least two capsules a day should be included in the room daily rate

          2. The kid's club was closed - even though kids are less likely to spread the disease

          3. The gastronomic restaurant, Emo, and the seafood restaurant, Ria, were both closed which was too surprising as six miles away the Epic Sana Hotel kept his restaurants open

          4. In terms of sustainability, there is a big difference between theory and reality: the pool bar still uses plastic straws and glasses apparently to comply with local policies (if that is so then those policies need to be amended)

          5. For room entertainment, the hotel charges 10€ for a movie on demand

          6. We noticed that the cushion of one of the couches in the corridor on our floor was stained and dirty

    The Anantara Vilamoura Hotel probably deserves another visit - post Covid-19 - to see its full potential as a luxury resort.

     

    Anantara Vilamoura

    Av dos Descobrimentos nº 0

    8125-309 Vilamoura

    Algarve, Portugal

    Tel: +351 289 317 000

    www.anantara.com/fr/vilamoura-algarve

    Anantara Vilamoura

    Anantara Vilamoura

    Anantara Vilamoura

    Anantara Vilamoura

     

    Anantara Vilamoura

    Anantara Vilamoura

    Anantara Vilamoura

    Anantara Vilamoura

     


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  • For the Love of Food Oberkamf est la deuxième adresse de Todd Hartwell et Olivier Nizet. Leur philosophie reste la même : donner leur chance à des jeunes chefs et cheffes pour qu’ils puissent exprimer leur talent sans pression et sans frais. Et ça, on adore !

    Le nouveau lieu se trouve dans l’hôtel de la Nouvelle République au 9 rue Moret dans le 11e arrondissement de Paris, un quartier populaire en pleine rénovation.

    Nous avons décidé de découvrir la cuisine philippine de la cheffe Erica Paredes, ici à l’honneur pendant tout le mois d’octobre 2020.

    Erica Paredes a un parcours assez atypique : rédactrice en chef dans le milieu de la mode pendant quelques années, elle décide un beau jour de devenir cheffe et s’inscrit au cours du Cordon Bleu à Paris. Après un stage à l’Atelier de Joël Robuchon, elle crée son entreprise de restauration privée nommée « Reyna » (reine en philippin) pour faire découvrir la richesse de la cuisine de son pays d’origine aux français.

    Nous venons pour le brunch du dimanche, le 4 octobre 2020, et sommes ravis de découvrir les saveurs et les parfums de cette cuisine délicieuse mais encore méconnue en France. La cheffe maîtrise parfaitement la technique de cuisson, le mélange des épices et le dosage subtil entre sucré et salé.

    Le service par Todd Hartwell et Erica Parades est à la fois attentionné et convivial.

    Pour les boissons, une mention spéciale au thé glacé au Pandan qui vous transporte en un instant sur une des îles paradisiaques des Philippines.

    For the Love of Food est un lieu essentiel pour découvrir des chefs et cheffes de tous horizons, de toutes cultures. Nous vous le recommandons chaudement.

     

    For the Love of Food Oberkamf

    9, rue Moret

    75011 Paris

    www.fortheloveoffood.paris

    Tel: +33 7 86 79 39 53

    For the Food of Love - Erica Parades

     

    For the Food of Love - Erica Parades

    For the Food of Love - Erica Parades

    For the Food of Love - Erica Parades

    For the Food of Love - Erica Parades

    For the Food of Love - Erica Parades

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    For the Food of Love - Erica Parades

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  • De notre point de vue, les anciens candidats à l’émission Top Chef sont en général très médiatisés mais peu arrivent à démontrer leur talent une fois au piano de leur propre restaurant.

    Néanmoins, il y a des exceptions et le chef Julien Burbaud en est une, lui qui concocte une cuisine franco-asiatique de très haute volée.

    Fanfan veut dire l’Arôme en mandarin, le restaurant étant la propriété d’un groupe chinois et ça tombe bien car, comme il le proclame fièrement au dos de la carte QR code de son menu, le chef est passionné par la culture asiatique et sa cuisine.

    Pour notre dîner du 3 octobre 2020, nous optons pour le menu « Expérience » en six séquences et nous ne sommes pas déçus car la cuisine tienne toutes ses promesses : les saveurs, les épices, les arômes et les ingrédients, tout a été préparé avec dextérité et parfaitement exécuté par le chef et sa brigade.

    Chacun des six plats est un voyage en soi, comme le homard en fine raviole à la sauce kimchi ou le dessert au chocolat vietnamien/glace whisky arrangé/caramel miso.

    Pour les vins, Fanfan propose des accords mets-vin originaux et pertinents, la maison possède une carte de sakés importante. Le service est un peu pressé (et parfois approximatif sur la composition des plats) mais au tempo.

    Julien Burbaud est un chef talentueux et créatif qui maîtrise à merveille la partition franco-asiatique, c’est un futur profil étoilé. C’est tout le “mal” qu’on lui souhaite.

     

    Fanfan

    18 Rue Bayen

    75017  Paris

    Tél: +33 1 53 81 79 77

    www.fanfanlarome.com

     

    Fanfan

    Fanfan

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    Fanfan

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  • Nous fûmes heureux de retrouver Nathaniel Auda et Isamu Motoda post-confinement, sept mois après avoir découvert leur restaurant, Issa Paris, en février dernier.

    D’entrée, Nathaniel Auda nous recommande de goûter à un petit saké sympathique, original et frais en nous demandant d’en deviner la provenance. Réponse unanime des convives : du Japon évidemment ! Eh non, avec un petit sourire malice Nathaniel nous dévoile que ce saké est en fait élevé en fût de Cognac et fabriqué par la maison Wakaze à... Fresnes, en Ile de France. D’ailleurs, heureuse coïncidence, ce soir-là (19 septembre 2020), les deux fondateurs de Wakaze, Takuma Inagawa et Shoya Ima, dînaient chez Issa Paris.

    Le Covid-19 a temporairement obligé le chef à retirer de sa carte le menu dégustation faute de chef de partie et à transformer son restaurant en Izakaya Zen proposant des plats à partager en toute convivialité.

    La cuisine de chaque plat est un travail d’orfèvre, tout est délicieusement exquis, tel le flan au foie gras qui se nomme “la petite claque” ou encore le poulet frit, un uppercut au palais.

    La carte des vins et sakés est certes courte mais extrêmement pertinente et percutante.

    Le service par Nathaniel et son assistante est dans la convivialité et la bonne humeur.

    Issa Paris compte désormais parmi nos lieux préférés pour déjeuner ou dîner, c’est un bistrot en constante évolution et nous espérons que bientôt Nathaniel Auda et Isamu Motoda pourrons de nouveau nous proposer leur fameux menu découverte.

     

    Issa Paris

    4 Rue du Petit Moine

    75005 Paris

    Tel : 01 77 32 24 82

    https://issa-paris.com

     

    Issa Paris - Post confinement

    Issa Paris - Post confinement

    Issa Paris - Post confinement

    Issa Paris - Post confinement

    Issa Paris - Post confinement

    Issa Paris - Post confinement

    Issa Paris - Post confinement

    Issa Paris - Post confinement

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  • Gros Bao, comme son nom le laisse présager, est un restaurant chinois situé sur le quai de Jemmapes qui se la joue cool et tendance nouvelle vague.

    Ici pas de réservation, on fait la queue genre petit train sur le trottoir le temps qu’une serveuse vienne vous indiquer votre table et ensuite pour les plats vous avez le choix entre la carte en plastique ou les énormes affiches collées au mur.

    Pour notre déjeuner du dimanche 6 septembre, nous choisissons l’Œuf céleste (sorte de flan avec sauce de soja et champignons de Paris frits) et Liang Pi (salade de nouilles fraîches, concombres, coriandres sauce sésame) tous deux excellents, quasiment dignes d’un restaurant gastronomique. Nous poursuivons avec les Baos : Baozi Shangai classic et Char Sui Bao, très bon.

    Notre déception c’est le canard pékinois qui ressemble plus à un canard laqué que pékinois et surtout servi avec uniquement deux galettes (une par personne) épaisses comme des pancakes, le tout accompagné d’un bouillon sans aucun goût, fade et bâclé. Nous n’avons même pas droit aux nouilles habituellement servies avec ce plat. Le chef (ou les chefs) de Gros Bao devraient aller prendre un petit cours de canard pékinois au restaurant Imperial Treasure Fine Chinese Cuisine.

    Le service est plus que brouillon et désorganisé : plus de 15 minutes pour avoir notre plat Liang Pi et bien davantage pour notre Ice Latte coffee, que nous avons dû réclamer deux fois.

    Au final, l’expérience est mitigée. C’est dommage car les Bao et les entrées étaient très bons, mais ça manque de rigueur et de sérieux dans le service. Le restaurant est probablement destiné à une clientèle peu exigeante sur le contenu de l’assiette et qui n’y connaît pas grand-chose dans la cuisine chinoise. Malheureusement – pour eux – nous ne sommes ni l’un ni l’autre.

     

     Gros Bao

    72 quai Jemmapes

    75010 Paris

    www.baofamily.co/grosbao

    Gros Bao

    Gros Bao

    Gros Bao

    Gros Bao

    Gros Bao

    Gros Bao

    Gros Bao

    Gros Bao

    Gros Bao

    Gros Bao

     


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